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MetalManiaX
31 juillet 2010

samedi au sonisphere

Au réveil il pleut. Mais bon en même temps ca doit être normal en Angleterre.

Arrivée sur les concert pour la fin de Sabaton, groupe qui mérite une recherche sur le net car les 3 morceaux entendus étaient bien sympa.

Lacuna Coil est un peu comme Delain hier, mais en bien plus intéressant à tout point de vue, autant physique que musical. Ça bouge quand même déjà plus, les morceaux sont plus péchu musicalement et le fait d'avoir un chanteur qui beugle mis en contraste avec celui de la chanteuse fait que je m'emmerde moins pendant que je matte la chanteuse qui mériterait un cadrage plus large à l'écran géant.

Soulfly dépote toujours autant et un refuse/resist et roots bloody roots ne se refusent pas et ca se voit dans la fosse qui s'agite bien. 30 minutes c'est trop court par contre !

Anthrax
rhaaaaaaaaa c'est bon du thrash entre de très vieux morceaux, de plus récents et l'annonce d'un prochain album, il y avait le morceau que j'attendais: la reprise d'anti social où les anglais qui étaient à coté de moi ont été surpris de me voir beugler du français pendant l'intro.

Fear Factory là aussi ca me rappelle le hellfest à part que cette fois c'est en plein milieu d'après midi et encore une fois bien plus court.

Papa Roach
Ça a l'air d'avoir la patate, mais il y a des impératifs de bouffe et boisson des fois. Bon il reste quand même en fond sonore et c'est que je me rend compte qu'une de leur chanson est le générique d'une émission de catch. Ça aide pas à faire passer de grosses frites à la mayonnaise sucrée et à l'ail (si si)...

Apocalyptica
Y a pas à chier, je les préfère vraiment plus en fest qu'en concert, le public participe vachement plus sur les reprises. Setlist de 7 ou 8 chansons dont 3 reprises de metallica et sur leurs morceaux, un chanteur est venu sur deux: "End of me ?", un morceau du nouvel album et "i'm not jesus" du précèdent.

Good charlotte
Ça me semble un peu comme papa roach. et donc même réaction, c'est le moment de faire une petite pause boisson,... en préparation de la fin de la soirée.

En regardant le reste du papier ou j'avais noté mon planning, c'était vraiment l'heure de la pause avec un retour au camping en mode vautrage dans la tente et vu que j'étais pas le seul à avoir eut cette idée, on a aussi libéré l'apéro en Angleterre. Et comme en France, c'était une petite erreur de timing, car j'ai entendu des bouts de Sick Of It All qui jouait dans une des scènes annexe depuis le camping.

Bon, mélangé avec du Skunk ananzie ou du Placebo qui étaient sur les autres scènes, ça donne un truc un peu indigeste quand même... En contrepartie j'ai pu recharger mon tel à une des petites boutiques donc je devrais pouvoir vous raconter mon dimanche.

Je viens enfin de rebouger sur le fest et ça va être Motley crue puis Rammstein pour finir.

Mötley Crue a été meilleur qu'au Hellfest (qui a dit pas dur ?) mais bon ca m'a pas empêché d'aller faire un tour avant de revenir pour les dernières chansons. Ça s'est fini avec des feux d'artifices en plein jour et une série de montrage de nibards du public sur les écrans géant.

Là, Rammstein commence et il fait encore jour je me demande ce que ca va donner.

C'est toujours un putain d'énorme show, le responsable incendie a pas du dormir depuis 15 jours. Il y avais les gadgets et effets classiques : la baignoire avec la tour, le mec qui prend feu, les lance flamme buccaux, les jets de flamme, feux d'artifice, ... et le bateau dans le public. Les seules choses que j'ai pas vu qui étaient à Bercy, sont l'entrée ou ils découpent le décor et les ailes lance-flamme.


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31 juillet 2010

vendredi au sonisphere (fest anglais)

Les concerts commence vers 17h c'est un peu dur après une presque nuit blanche dans le bus.
Impression bizarre de voir énormément de gens déguisés: il y en a vraiment plus qu'au Hellfest, de tout age et sexe.
Un énorme metal market animations, manèges et bouffe qui respecte bien la tradition de la bouffe anglaise: tous les éléments pris indépendamment sont bons, mais le mélange donne un résultat au goût particulier et souvent improbable par rapport à l'idée d'origine.

Programmation beaucoup moins extrême qu'au hellfest.

Delain
Comme d'hab sympa a écouter 3 ou 4 chansons tout en mattant la chanteuse mais après ca a tendance à me saouler assez rapidement.

Turisas fait un bon show énergique avec une grosse patate, mais là, c'est moi qui a pas vraiment la patate et qui accuse la fatigue de la nuit blanche et des premières bières entre 10h et les premiers concerts.

Vient le tour d'Europe.
Surprenant de se rendre compte que je connais d'autres chansons que "final countdown" mais ils font aussi des reprises de bob marley alors je sais pas si ça compte pour toutes.
Son très oldies année 80, mais qui assure bien dans le style, que ce soit les ballades ou les morceaux un peu plus rapides.
Et comme l'année dernière au hellfest, Il suffit de quelques notes de synthé "tintin din tintin din din" pour faire beugler et faire bouger/chanter une grande partie du public

Le groupe après Europe m a vite emmerdé avec son son assez mou tirant vers de l'electro goth.Je suis parti faire un tour sur les autres stand market et de retour pour les dernier morceaux du groupe je m'emmerde encore autant.

Alice Cooper
Ça à la couleur du hellfest, le gout du hellfest, mais ... Mais c'est pratiquement le même show qu'au hellfest en fait !

Fin de la première journée vers minuit et rentrage sous la tente pour faire enfin une vrai nuit de sommeil, car demain les choses vont être plus sérieuses. Suite du report demain. Des photos devrait être ajoutées dans la journée si elles sont pas trop pourries et la correction des fautes de cet article pas avant lundi.


13 juin 2010

Detroit Rock city

metalmaniax_intro

1978, 4 ado rêvent d'aller voir un concert de KISS. Ils ont leur billets sauf que la mère d'un des quatre, catholique très pratiquante, tombe dessus et les brule. Suite à un quiproquo, ils pensent avoir malgré tout des ticket et font la route jusque Détroit. Une fois sur place, apprenant qu'ils n'ont pas leur billet, ils vont essayer par tout les moyen d'en trouver. Et c'est à partir de là que la situation va vraiment partir en couille bien qu'elle était déjà bien entamé!

Bon, il faut le dire tout de suite Detroit rock City n'est pas, et ne sera jamais, le film du siècle. L'histoire est assez basique et sert surtout à aligner des tas de situation à la con. C'est le genre de comédie à regarder entre potes un lendemain de grosse soirée quand le cerveau tourne au ralenti.

Film léger et fun, il remplit bien sa tache. Il regorge de gros gags bien crétin et de situations gentiment transgressives. On a l'impression que le réalisateur et le scénariste règlent leurs comptes de l'époque. Entre la mère de Jam qui est obnubilé par le fait que KISS c'est la musique du diable et que c'est mal d'en écouter (tiens ça me rappelle quelque chose ça !), les curés des institution catholiques ou le prêtre qui fantasme sur les péchés que les gens lui racontent dans le confessionnal en prennent tous dans la tête. Rien de bien méchant, mais pas vraiment politiquement correcte comme l'exige l'époque actuelle.

Les suppléments du DVD sont cette fois dispensable. Le petit plus vient de la bande son énorme !
Avec bien évidement de nombreux morceaux de KISS mais aussi plein d'autres morceaux de l'époque Cat Scratch Fever de Ted Nugent, Iron Man de Black Sabbath, Whole Lotta Rosie d'ac/dcRunning with the Devil de Van Halen, Blitzkreig Pop des Ramones, … bref du bon vieux son bien oldies qui va bien avec le film.

FeF

 

6 juin 2010

Metal : voyage au coeur de la bête/ Metal, a headbanger's journey

Depuis l'age de 12 ans, je défends ma passion pour le métal contre ceux qui l'accuse d'être une musique inférieure. Je leur dit que c'est une chose qu'il faut ressentir !

Si cette musique ne vous donne pas un sentiment de puissance et que vous n'en sentez pas des frissons sur tout le corps, vous ne la comprendrez jamais !
Mais ce n'est pas grave, à en juger parmi les 40 000 fans qui m'entourent ici, on arrivera a se débrouiller sans vous !

Samuel Dunn,
le réalisateur de Metal, a headbanger's journey

 

metalmaniax_intro

Ce texte est la conclusion orale du reportage mais revenons au début !

Après une explication de la situation du metal en 1986 et l'espèce de "répression" qui s'en ait suivi, Dunn explique son parcours en tant que metalleux et ses études en anthropologie et les cultures humaines. C'est de là que lui est venu l'idée de faire un reportage explorant et faisant découvrir le monde du métal, sa culture et ses membres.

D'un développement très classique, il commence par définir l'origine du métal et montrer ses évolutions (un peu comme l'arbre généalogique) en utilisant des petits morceaux des nombreuses interview de musiciens qu'il a pu faire (lemmy, alice cooper, rob zombie, lamb of gob, cannibal corpse, …et celui de nombreux fans ou de scientifiques).

Pourquoi le son est souvent est considéré comme diabolique, c'est la ou j'ai appris l'existence du triton. Cela permet au reportage d'aller étudier d'un peu plus près les origines musicales comme évidement le blues sans oublier les nombreux rapprochement avec le classique.

Et le fait que le métal est aussi une culture
pour cela, Dunn est passé par le Wacken, pour décrypter en plus de la musique tout les autres codes comme les vêtements, les fanzines, maison de disque indé, et explique que c'est une communauté et que cela rapproche des gens qui partage les mêmes valeurs mais aussi un rejet parmi les autres personnes et les différents rapports qu'il peut exister avec la religion.

Bon évidement il aurait des tas d'autres choses à raconter, mais dans ce cas on aurait un reportage qui devrait durer au minimum plusieurs heures au lieu d'1h30. Mais c'est un bon moyen de présenter le métal de façon intelligente et ses différentes évolutions (surtout pour le black et death metal) surtout pour ceux qui ne le connaissent pas et essayant d'expliquer les polémiques que cela peut provoquer.

Pour les metalleux, il ne faut pas oublier les nombreux morceaux en live (avec du motorhead, du rage against the machine, iron maiden, …) et certaines petites réflexions qui feront forcement sourire.

 

FeF

30 mai 2010

This is Spin̈al tap

metalmaniax_intro

Après Wayne's World qui a été la première comédie sur le métal que j'ai vu, il faut que je parle de This is Spinal Tap qui se place à la deuxième place de cette catégorie.

Spinal Tap est soit disant un rockumentaire qui suit le groupe du même nom dans la tournée américaine de son nouveau disque Smell the Glove. On ne peux pas dire que cette tournée se passe bien et que je groupe réagisse au mieux non plus !
A part que tout est faux, ce film est une parodie des reportages télé ou des DVD ou on voit les groupes qui racontent et montrent leur vie en tournée.

 

De ce coté là, c'est vraiment super réussi. On retrouve tout les stéréotypes et les comportements que l'on a pu voir dans ces fameux reportages dans les partie ou le réalisateur s'entretient avec un des membres du groupe. J'adore ce passage avec le guitariste qui tripe sur sa guitare et l'ampli modifié qui va jusqu'à 11 pour jouer plus fort que les autres groupes.

Mais en plus de ces passage un peu plus intimiste, il y a cette fameuse tournée qui se passe mal et qui permet d'enchainer des gags juste énormissime. Le bassiste qui reste coincé dans sa coque, le mini Stone Edge de 40 centimètres de haut car ils se sont trompés dans les dimensions, …

Et comme pour Wayne's World, je vous conseille de mater les suppléments du DVD.

Le reportage de Philippe Manœuvre (du temps ou ils faisaient autre chose que des émissions télé de chanteur de merde) est très intéressant car il remet le film dans son contexte des années 80 et explique comment les groupes de l'époque l'on plus ou moins bien encaissé à sa sortie.
Mon deuxième coup de cœur sur les suppléments, va à la tonne de scènes coupées au montage qui montre qu'ils avaient pensé à des tonnes de trucs qu'il n'ont pas pu exploiter.

Comme pour Wayne's World, Spinal Tap fait parti des incontournable des choses qu'il faut avoir vu !

Fef

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23 mai 2010

Dimanche... jour de glandouille

C'est l'occasion de mater des DVD. Et si je vous dis

  • si tu vomis, vomis la dedans
  • chwing chwing
  • un jour, elle sera mienne ! oh oui, un jour, elle sera mienne !
  • On est tout petit, On est pas digne, On mérite pas, ….
  • le sphincter a dis quoi ?
  • voiture, VOITURE  – engagement, ENGAGEMENT

 

Qui est celui au fond qui n'a pas reconnu Wayne's World ?!

Film de 1992 vu à sa sortie (oui je sais !) et revu tellement de fois depuis que je pense le connaître à peu prêt par cœur. Et quand je dis par cœur, c'est que, dès les premières images des différentes scènes, je me rappelle des gags et pratiquement de tout les dialogues. Ce qui me rassure, c'est que c'est à peu prêt pareil pour tout les metalleux que je connais. Et que le premier qui fait une référence directe au film s'expose à dix minutes de souvenir d'ancien combattant.

Pour le voir d'une façon un peu différente, la version DVD propose une version commentée par la réalisatrice où elle explique leur méthode de travail qui avait l'air d'être un beau bordel.
Le moment qui m'a le plus surpris et fait marré, c'est l'explication du gag pour le NO STAIRWAY TO HEAVEN. L'équipe avait prévu un truc autours du morceau de Led Zep mais ils n'ont pas eu les droits d'utilisations de la chanson et ils ont donc trouvés le gag du panneau à ce moment là ! Il y a plein d'autres petites anecdotes dans ce style à découvrir.

Bref, je vous recommande pas de voir ce film, car je pense que c'est forcement déjà fait, mais de jeter un coup d'œil sur les supplément du DVD.

FeF

Petit ajout tardif

Je viens de tomber sur un clip d'une des chansons du film. Ça a du servir de promo pour un truc ou un autre. C'est fait à base d'images du film et de nouvelles conneries de Wayne et Garth : ENJOY !!

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